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PAS SANS L’AUTRE …
C’est ce que nous pouvons découvrir en lisant ce qui nous est proposé pour vivre le dimanche de la santé…
Pas sans l’autre, cela nous renvoie à ce que nous sommes invités à vivre jour après jour.
Nous ne pouvons pas vivre sans l’autre.
Notre vie n’a de sens qu’avec les autres, pour les autres, par les autres.
Nous sommes unis aux autres, nous sommes liés par un même destin : celui de notre humanité.
Comme Baptisés, Confirmés qui récitons tous les jours le Notre Père nous affirmons que Celui en qui nous croyons est le Père de tous.
Nous le savons nous ne pouvons pas vivre sans Celui qui est le Tout Autre. De Lui nous tenons tout ce qui nous fait.
Lui , Notre Père, a besoin aussi des Autres que nous sommes pour que son règne vienne.
Comme la Vierge Marie a eu besoin un 11 février d’une autre, de la petite Bernadette pour que soit manifesté à tous son amour de Mère, son Immaculée Conception.
Pas sans le Tout Autre, pas sans les Autres osons avancer pour témoignerde son amour.
Jean Pierre Ortholan, curé
Temps ordinaire, Temps des hommes, Temps de Dieu…
Ce temps qui est le notre, est le temps le meilleur car c’est celui qui nous est donné de vivre, à vivre l’aujourd’hui de Dieu.
Dans ce temps, nous avons à répondre à l’invitation de notre Évêque : « Être à l’écoute du Monde, être au service de nos frères et sœurs, témoigner de l’espérance, de l’amour de Dieu. »
Depuis plusieurs dimanches nous avons pu découvrir et nous découvrirons l’environnement, la vie de nos communautés.
Cette écoute, ce regard doit susciter en nous de nombreuses interrogations…
Au cœur de ce monde comment annoncer l’Évangile de Jésus Christ ?
Ils sont nombreux ceux et celles qui acceptent de répondre à l’appel du Seigneur.
Mais, la tâche est immense… et les ouvriers peu nombreux !
La communauté Saint Etienne a eu la joie d’accueillir celui qui a accepté de jouer le rôle de Relais. Nous reviendrons sur cette situation des communautés du Centre… où il n’a pas été possible d’appeler un Délégué Pastoral…
Dans un mois, nous accueillerons les catéchumènes, ils ont répondu à un appel, ils ont été accompagnés dans leurs démarches.
Des enfants en âge scolaire se préparent eux aussi à recevoir le Sacrement du Baptême.
Rendons grâces au Seigneur pour tous ceux et celles qui avec eux se sont mis en route !
Et prions pour eux, leurs accompagnateurs. Prions le maître de la moisson, répondons à son appel, mettons-nous à son service.
Jean Pierre Ortholan, curé
Fondé il y a 900 ans, l’Ordre de Malte, ordre religieux, combat notamment la Lèpre et ceci grâce à vos dons. Les fonds sont destinés à la prévention, la guérison, la recherche pour une maladie qui frappe encore 212 000 nouveaux cas par an dans 100 pays. Il suffit de 6 à 35€ pour guérir un enfant et 23 à 79€ pour guérir un adulte.
Merci pour vos dons en cette journée !
Huit jour de réflexion sur notre transformation dans le Christ.
Au cours de la Semaine de prière 2012, nous sommes invités à croire toujours plus profondément que tous, nous serons transformés par la victoire de notre Seigneur Jésus Christ. L’ensemble des lectures bibliques, des commentaires, des prières et des questions proposés à notre réflexion, explore différents aspects de ce que cela signifie pour la vie des chrétiens et pour leur unité, dans et pour le monde d’aujourd’hui. Nous commençons par contempler le Christ serviteur, et notre cheminement se poursuit jusqu’à la dernière célébration, celle du règne du Christ, en passant par sa croix et sa résurrection.
Premier jour : Transformés par le Christ Serviteur
Le Fils de l’homme est venu pour servir (cf. Mc 10,45)
Deuxième jour : Transformés dans l’attente patiente du Seigneur
Laisse faire maintenant. C’est ainsi qu’il nous convient d’accomplir toute justice (Mt 3,15)
Troisième jour : Transformés par le Serviteur Souffrant
Le Christ a souffert pour nous (cf. 1 P 2,21)
Quatrième jour : Transformés par la victoire du Seigneur sur le mal
Sois vainqueur du mal par le bien (Rm 12,21)
Cinquième jour : Transformés par la paix du Seigneur ressuscité
Jésus se tint au milieu d’eux et il leur dit : la paix soit avec vous ! (Jn 20,19)
Sixième jour : Transformés par l’amour inébranlable de Dieu
Et la victoire, c’est notre foi (cf. 1 Jn 5,4)
Septième jour : Transformés par le Bon Pasteur
Pais mes brebis (Jn 21,17)
Huitième jour : Unis dans le Règne du Christ
Le vainqueur, je lui donnerai de siéger avec moi sur mon trône (Ap 3,21)
En cette dernière journée de notre Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, nous célébrons le Règne du Christ. La victoire du Christ nous rend capables d’envisager l’avenir dans l’espérance. Cette victoire triomphe de tout ce qui nous empêche de partager la plénitude de la vie avec lui et les uns avec les autres. Les chrétiens savent que leur unité est avant tout un don de Dieu. Elle fait partie de la victoire glorieuse du Christ sur tout ce qui divise.
La Liturgie, après l’allégresse, les fastes du temps de Noël, nous invite à entrer dans le temps ordinaire…
Un temps ordinaire où, si nous le voulons, nous vivrons des événements extraordinaires.
Extraordinaires car nous le croyons l’Emmanuel que nous avons célébré est « Dieu avec nous » dans le quotidien de nos journées. Cette présence illumine nos vies de joie, de paix, d’espérance.
Le 2 février, nous célébrerons la présentation de Jésus au Temple. C’est là que le vieillard Syméon le proclame « Lumière des Nations », à nous de l’accueillir, d’en témoigner autour de nous.
Du 18 au 25 janvier nous vivrons une semaine de prière pour l’Unité des Chrétiens, désir de vivre cette unité pour que le monde croit. Cette unité doit être aussi vécue par nos communautés et notre paroisse… Nous pouvons nous demander quel geste chacun de nous pourrait poser pour être signe appelant pour tous ceux qui nous entourent ?
Nous aurons aussi de nombreux autres rendezvous pour vivre cette écoute du monde, pour vivre cette attention, ce service des autres « Diaconia 2013 », pour entendre les appels qui nous seront lancés.
Saurons-nous répondre comme le petit Samuel : « Parle, ton Serviteur écoute » ou pourrons nous reprendre le Psaume 39 « Me voici Seigneur, je viens faire ta volonté » ?
Jean Pierre Ortholan, curé
Message du Pape Benoît XVI
pour la journée mondiale
des migrants et des réfugiés
Dimanche 15 janvier 2012
« Migrations et nouvelle évangélisation »
Annoncer Jésus Christ unique Sauveur du monde «constitue la mission essentielle de l’Église, tâche et mission que les mutations vastes et profondes de la société actuelle ne rendent que plus urgentes » (Exhort. apost. Evangelii nuntiandi, n.14). Aujourd’hui, nous ressentons même l’urgence de promouvoir, avec une force nouvelle et des modalités renouvelées, l’œuvre d’évangélisation dans un monde où l’élimination des frontières et les nouveaux processus de mondialisation rendent les personnes et les peuples encore plus proches, soit grâce au développement des moyens de communication, soit grâce à la fréquence et à la facilité avec lesquelles les déplacements de personnes et de groupes sont rendus possibles. Dans cette nouvelle situation, nous devons réveiller en chacun de nous l’enthousiasme et le courage qui poussèrent les premières communautés chrétiennes à être des annonciatrices intrépides de la nouveauté évangélique, en faisant retentir dans notre cœur les paroles de saint Paul: «Annoncer l’Évangile en effet n’est pas pour moi un titre de gloire ; c’est une nécessité qui m’incombe. Oui, malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile !» (1 Co 9, 16).
Les réfugiés qui demandent asile, ayant fui les persécutions, les violences et les situations qui mettent leur vie en danger, ont besoin de notre compréhension et de notre accueil, du respect de leur dignité humaine et de leurs droits, tout comme de la prise de conscience de leurs devoirs. Leur souffrance exige de la part des États et de la communauté internationale des attitudes d’accueil réciproque, en surmontant les craintes et en évitant les formes de discrimination, et que l’on rende concrète la solidarité notamment à travers des structures d’accueil adéquates et des programmes de réinsertion. Tout cela comporte une aide réciproque entre les régions qui souffrent et celles qui accueillent déjà depuis des années un grand nombre de personnes en fuite, ainsi qu’un plus grand partage des responsabilités entre les États.
Les communautés chrétiennes doivent accorder une attention particulière aux travailleurs migrants et à leurs familles, à travers l’accompagnement de la prière, de la solidarité et de la charité chrétienne; la valorisation de ce qui enrichit réciproquement, ainsi que la promotion de nouveaux programmes d’action politiques, économiques et sociaux, qui favorisent le respect de la dignité de chaque personne humaine, la protection de la famille, l’accès à un logement digne, à un travail et à une assistance.
Je désire enfin rappeler la situation de nombreux étudiants internationaux qui font face à des problèmes d’insertion, à des difficultés bureaucratiques, et à des obstacles dans la recherche de logement et de structures d’accueil. De façon particulière, les communautés chrétiennes doivent être sensibles à l’égard des nombreux jeunes garçons et filles qui, précisément en raison de leur jeune âge, outre la croissance culturelle, ont besoin de points de référence et cultivent dans leur cœur une profonde soif de vérité et le désir de rencontrer Dieu.
Chers amis, invoquons l’intercession de Marie, « Vierge du chemin », afin que l’annonce joyeuse du salut de Jésus dans le cœur de ceux qui, le long des routes du monde, se trouvent dans des situations de mobilité. À tous j’assure ma prière et je donne la Bénédiction apostolique.
Dans leurs messages du Nouvel An, le pape comme le chef de l’Église anglicane ont plaidé pour la jeunesse.
« Convergence des préoccupations, oecuménisme de fait : à l’occasion des messages prononcés à l’aube de l’année 2012, le pape Benoît XVI et le chef de l’Église anglicane, Rowan Williams, ont plaidé pour la jeunesse. Les propos de l’archevêque de Cantorbéry s’adressaient aux Britanniques, puisqu’ils faisaient référence aux graves émeutes de l’été ; mais ses réflexions avaient une portée plus large : « Nous devons nous demander quel genre de société laisse tomber tant de jeunes », s’est-il inquiété. Le nombre d’élèves sortis de l’école sans diplôme, les chiffres élevés du chômage, les difficultés de logement, mais aussi les familles disloquées, les grossesses adolescentes, les conduites à risque ou les actes de délinquance concernent bien d’autres pays.
Et sa conclusion avait valeur universelle : « La foi chrétienne a souligné l’importance essentielle de donner aux jeunes gens le respect qu’ils méritent. »
En quoi consiste ce respect ? Il s’agit de sortir d’un rapport de méfiance ou de supériorité à l’égard des jeunes générations, de ne confisquer ni les pouvoirs ni les responsabilités. Mais cela ne signifie pas de tout leur «passer», d’idolâtrer leur âge dans les élans malsains de «jeunisme» d’une société incapable de mûrir. Les jeunes doivent être «éduqués» (pas seulement «instruits»), a insisté, comme en écho, le pape Benoît XVI. Éduqués « au sens de la justice et au respect de l’autre, à la capacité d’affronter les conflits sans autoritarisme, à la force intérieure de témoigner du bien même lorsque cela coûte sacrifice, au pardon et à la réconciliation ». Pour leur redonner confiance en l’avenir, cet avenir qu’ils « regardent aujourd’hui avec une certaine appréhension ».
Belle feuille de route pour les parents, les éducateurs, mais aussi pour les responsables politiques. Un engagement pour l’année qui s’ouvre, surtout quand elle comprend des échéances électorales. Un programme de confiance, un parti pris de respect (on sait que le mot leur est cher). Respecter les jeunes, c’est leur donner toutes leurs chances, c’est également être exigeant envers eux, c’est les croire capables de changer ce que leurs aînés n’ont pas su changer. »
La Croix Lundi 2 janvier 2012
Dans la lumière de l’étoile de l’Épiphanie, l’Équipe d’Animation Pastorale vous renouvelle tous ses vœux pour 2012.
Nous tenons à remercier tous ceux et celles qui d’une façon ou d’une autre permettent à notre paroisse de témoigner de La Joie, de l’Espérance, de la Paix que ce Tout Petit, l’Émmanuel « Dieu avec nous » nous confie.
Témoigner, Manifester, être Épiphanie, c’est bien ce que nous sommes invités à vivre.
Pour répondre à la mission qui est la nôtre, être à l’écoute du monde, vivre le service des frères (Diaconia 2013), nous avons sans cesse à puiser nos forces :
Dans la Parole de Dieu,
Dans l’Eucharistie (même en semaine nous pouvons répondre à l’invitation du Seigneur),
Dans le Sacrement du Pardon, de la Réconciliation.
Dans la vie fraternelle.
« Étre à l’écoute du monde » « Servir nos frères et sœurs » :
Notre feuille infos nous fera découvrir pendant quelques dimanches la réalité de nos communautés, de notre paroisse.
Nous demeurerons attentifs et agissants vis à vis des jeunes de notre secteur, nous pouvons lire avec intérêt l’article tiré du journal La Croix, reprendre le dernier numéro du Messager.
Nous informer en vue des futures élections en lisant la déclaration de nos Évêques.
Savoir prendre des initiatives pour être davantage au service de nos frères et sœurs, écrire les merveilles de fraternité dont nous sommes les témoins ou les acteurs.
Plusieurs rendez-vous nous sont donnés, nous notons ces dates et serons fidèles à ces rencontres.
Pour l’EAP, Jean Pierre Ortholan.
Comme chaque année, notre évêque nous rappelle l’essentiel de la fête de la Nativité qui ne doit pas masquer une réalité difficile liée à une conjecture particulièrement éprouvante.
Nous souhaitons que ce message soit pour vous tous porteur d'une Bonne nouvelle pour cette année 2012 qui s'ouvre devant nous...
Certes, les temps sont difficiles, incertains, la peur peut nous saisir.
Pourtant nous avons l'audace de vous proposer une Espérance qu'un Tout Petit est venu nous donner. À nous d'accueillir son message de Paix, d'Amour, de Justice.
Dans le dernier numéro du Messager, vous avez pu lire comment des enfants, des jeunes se lancent avec confiance dans l'aventure que Jésus leur propose de vivre... Ils ont toutes les audaces, toutes les espérances. Laissons-nous entraîner par eux.
Nos Évêques nous proposent un texte au sujet des élections qui vont se dérouler dans notre pays. Prenons en connaissance, retrouvons-nous avec d'autres pour approfondir notre réflexion et pour voir, agir en connaissance de cause.
Nous voulons être à l'écoute du monde, pour être les serviteurs des plus pauvres, des laissés-pour-compte de notre société. Vivre « Diaconia 2013 ». Cette prière de l'abbé Pierre ouvrait le dernier numéro du Messager. Qu'elle nous aide à vivre 2012 dans l'Amour, la Paix, l’Espérance que le Seigneur Jésus nous donne.
Voici tous les vœux que nous vous présentons au nom de l’Équipe d'Animation Pastorale.
Jean-Pierre Ortholan.
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