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26 mars 2020 4 26 /03 /mars /2020 23:26

 

Bénédiction "Urbi et Orbi" exceptionnelle ce vendredi

   

     Le Pape a annoncé qu’il présiderait un temps de prière ce vendredi 27 mars à 18h sur le parvis de la basilique Saint-Pierre. La Place Saint-Pierre sera vide, mais François invite tout le monde à s’y associer grâce aux médias, car cette célébration sera retransmise à la radio, à la télévision et sur internet. « Nous écouterons la Parole de Dieu, nous élèverons notre supplication, nous adorerons le Saint-Sacrement, avec lequel je donnerai à la fin la bénédiction Urbi et Orbi, à laquelle sera attachée la possibilité de recevoir l'indulgence plénière.» Cette initiative est tout à fait exceptionnelle, la bénédiction Urbi et Orbi n’étant normalement prononcée qu’à Noël, à Pâques et lors de l’élection d’un nouveau Souverain pontife.

       «À la pandémie du virus nous voulons répondre avec l’universalité de la prière, de la compassion, de la tendresse. Restons unis. Faisons sentir notre proximité pour les personnes les plus seules et les plus éprouvées. Notre proximité pour les médecins, les opérateurs de santé, les infirmiers et infirmières, les volontaires… Notre proximité pour les autorités qui doivent prendre des mesures difficiles, mais pour notre bien. Notre proximité aux policiers, aux soldats qui cherchent à maintenir l’ordre sur la route, pour que s’accomplissent les choses que le gouvernement demande de faire pour le bien de nous tous. Proximité à tous », a lancé le Pape, sortant de son texte.

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29 février 2020 6 29 /02 /février /2020 22:31

"Revenez à moi de tout votre cœur
car je suis un Dieu de tendresse"
(cf. Jl 2,12-13)


(♫ Écouter le chant Revenez à moi - Sylvanès ♫)

Les Moines et Moniales de saint Joseph
vous souhaitent une sainte entrée en Carême
et vous assurent de leur intercession.

 

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23 février 2020 7 23 /02 /février /2020 08:30
Chers amis,

Il y a encore quelques années, le mot « martyr » était à peine utilisé. Mais hélas, ce terme est redevenu d’actualité à cause de la vague mondiale d’attentats-suicides. Pire encore, la terreur djihadiste a chargé le terme d’un sens falsifié et effrayant. La signification chrétienne du « martyre » fait en revanche référence à un message très différent.

Les hommes, les femmes et même les enfants que nous vénérons en tant que martyrs ne cherchaient nullement la mort. Au contraire, ils ont aimé la vie jusqu’au dernier moment. Mais ils ont également démontré quelle liberté intérieure donne la foi en Jésus-Christ. Avec la certitude que l’amour de Dieu est plus fort que la mort, ils n’avaient pas peur de la haine, du mal ou des puissances séculières, désireuses de les priver de Dieu. Ils ont accepté la mort en croyant fermement que sacrifier leur vie à la vérité servait au salut du monde.
 
L’Église a été et sera toujours une Église de martyrs, même au 21e siècle. Nous avons besoin, surtout à notre époque, de gens courageux et héroïques qui s’opposent à la haine et à la vengeance.

Chers amis, cette année, notre campagne de Carême est consacrée à ces héros de la foi. La plupart d’entre eux vivent complètement cachés, en témoins silencieux de la grande cause de Dieu. Mais ils nous font l’offrande de leur courage et de leurs bénédictions. Montrons-leur nous aussi notre amour, afin qu’ils sachent qu’ils ne sont pas abandonnés dans leur combat.

                       Je vous bénis avec gratitude.
           Père Martin Barta
                                              Assistant ecclésiastique international de l'AED
 
 
 
PS : inscrivez-vous au Carême 2020 (cliquez ci-dessous), et recevez chaque jour un portrait de témoin de la foi ou de martyr d'aujourd'hui.
 
 
 
Dans cette vidéo, la meilleur amie de Sarah, tuée le 28 octobre 2012 dans un attentat-suicide de Boko Haram au Nigeria pendant la messe, témoigne. Son visage a été abîmé par les attentats, mais sa foi est intacte.

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13 octobre 2019 7 13 /10 /octobre /2019 19:49

1 million d’enfants prient le chapelet pour la Mission

 

          L’AED appelle les enfants à participer à l’initiative de prière « Un million d’enfants prient le chapelet ». En ce mois missionnaire extraordinaire, ils sont invités à prier pour les missionnaires et les nouvelles vocations missionnaires.

« Allez ! De toutes les nations faites des disciples » (Mat 28, 19)

 
       Ce 18 octobre 2019, le chapelet sera prié par des milliers de groupes d’enfants. Chaque année, l’AED reçoit des témoignages de cette journée de prière de l’Église universelle, qui ne touche pas que les cœurs des enfants. C’est pourquoi nous invitons enseignants, catéchistes, éducateurs, parents, grands-parents, etc., à participer le 18 octobre en union de prière avec des milliers d’enfants à travers le monde.

       L’idée du chapelet des enfants est née en 2005 à Caracas au Venezuela. Alors que plusieurs enfants priaient le chapelet dans un oratoire dédié à la Vierge Marie, quelques unes des femmes sur place ont fortement ressenti la présence de la Sainte Vierge. Le Padre Pio disait : « Si un million d’enfants prient le chapelet, le monde changera » : ayons confiance dans la force de la prière des enfants. Nous pouvons redynamiser le cœur de l’Église par la prière des enfants et le remplir d’amour missionnaire.

Concrètement : certains groupes prient un chapelet entier, d’autres une dizaine, il est aussi possible d’y joindre une catéchèse sur le chapelet, de brèves lectures et des cantiques adaptés aux enfants. Après la prière, les enfants peuvent être invités à dessiner les mystères du chapelet. Nous aussi, en France, participons nombreux à cette belle action de prière !

 
 
 

 

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22 août 2019 4 22 /08 /août /2019 13:52

 

Une église où l'on prie

est une lumière qui brille dans les ténèbres du monde

Cliquer sur la photo

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24 juin 2019 1 24 /06 /juin /2019 16:13

RÉFLEXIONS AUTOUR DE LA LETTRE DU PAPE

"LETTRE AU PEUPLE DE DIEU"

   transmise le 20 août 2018.

Paroisse Sainte Croix des confluents

 

Chaque "affaire" politique ou religieuse ébranle les consciences : réparons-nous aussi l'Église

         

                Dix huit personnes étaient présentes dont notre curé le père Jean-Pierre Teudjou et notre diacre, Guillaume de Sevin et deux personnes venues de Tonneins où ce débat n'a pu avoir lieu et où les paroissiens se sont exprimés sous une autre forme.

Cette réunion proposée par l'équipe d’animation pastorale (E.A.P.) et organisée par l'équipe Communication de la paroisse, a été voulue pour provoquer une réaction solidaire, communautaire et globale à la suite de la lettre du Pape François au Peuple de Dieu : " Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui" (1 Cor 12, 26).

A la demande de Yannick Masson et J.L. Trézéguet, modérateurs, il a été consacré un temps de relecture de cette lettre, puis un tour de table où chacun a pu exprimer son émotion et faire un constat individuel avant le débat lui-même.

Le père Teudjou s'est exprimé en premier : "Que faire pour que l'Église panse ses plaies, déclare-t-il ? Il faut se poser les bonnes questions ; comment je réagis en tant que citoyen, en tant que chrétien ? Si le Christ était à ma place, qu'aurait-il fait ? Même si ceci s'est passé depuis des générations, il ne faut pas condamner exclusivement l'Église sur ce sujet". Les participants reconnaissent que ce problème et l'omerta existent aussi dans d'autres secteurs de la société notamment dans l'Éducation Nationale ou l'Armée.

L'émotion exprimée par les participants a été forte et unanime : "Face aux faits révélés, nous sommes abasourdis, atterrés, meurtris, très choqués, très en colère, nous avons un sentiment de honte, une grande tristesse, c'est un vrai tsunami, il est trop tard ! "Nous nous sentons très petits et très impuissants devant un phénomène d'une telle ampleur et d'une telle gravité dont on ne pouvait soupçonner l'étendue ". "Nous avons des pensées émues pour les victimes, dont, comme le dit le Pape François "la douleur a trop longtemps été ignorée, silencieuse ou passée sous silence". Nous avons dit qu'il fallait être conscient de l'état de grand danger (danger de mort) dans lequel se trouve l'Église aujourd'hui". Il faut parler de crimes commis et non seulement de "délits" (comme on peut le lire dans la lettre du pape). Notre Évêque Mgr Herbreteau n'hésite pas, à juste titre, à parler de crimes ! Mais il a été dit qu'en l'occurrence les criminels sont aussi des "malades".

 

Pourquoi ce silence et si longtemps ? Comment cette omerta a-t-elle pu s’organiser ?

 

             On a parlé de la toute puissance du prêtre qui date de très longtemps, du cléricalisme qui en a découlé et qui est une forme d'abus de pouvoir ; il y a eu une propension à étouffer tout ce qui pouvait porter atteinte à l'aura du prêtre et à la confiance placée en lui par les laïcs (enfants ou adultes).

La dimension, la gravité des actes, leur conséquence, leur impact sur les victimes n'ont très certainement pas été, non plus, estimés à leur juste valeur.

Le Pape François fait le "mea culpa" de l'Église lorsqu'il parle dans sa "lettre au peuple de Dieu" d'aveuglement confortable et auto-suffisant où tout finit par sembler licite".

 

En tant que simple chrétien(ne) et laïc (que) que puis-je faire ? Que peut-on faire pour identifier, prévenir, soigner ?

 

            Est-ce notre problème en tant que laïc ? Il s'agit en l'occurrence d'un problème interne aux clercs de l'Église. N'est-ce pas de la responsabilité exclusive du Pape de le régler ? Moi, pauvre laïque, qu'ai-je à voir dans cette affaire ?

Dénoncer immédiatement la connaissance d'une déviance quelconque, d'un comportement anormal, être vigilant est, nous pensons, nécessaire et un devoir. Le Pape François pose la question reprenant l'appel de Saint Paul à souffrir avec celui qui souffre : "Est-ce que je suis, moi, le gardien de mon frère ?". La réponse est oui, sans hésitation.

Il faut prier. Guillaume nous a rappelé qu'il fallait prier, en particulier, pour les prêtres qui n'ont pas failli. Ceux qui, par exemple, habillés en clergyman qui se déplacent dans le métro à Paris, vivent des moments difficiles. Beaucoup de médias s'en donnent à cœur joie pour dénigrer un peu plus l'Église. Quelle occasion !

Aider, par des soins, toute personne aux tendances pédophiles que l'on détecte dans l'Église. Quel accompagnement aujourd'hui est-il fait pour ces prêtres déviants hormis leur mutation à la suite de faits avérés ?

Le constat fait aujourd'hui au sujet de l'ignorance de l'état dans lequel se sont retrouvées les victimes est accablant. Désormais il faut accepter de les écouter, prendre leurs cas en considération et faire l'objet un suivi psychologique.

Dans sa lettre, le Pape parle de la pratique du "jeûne" qui donne faim et soif de justice, qui nous secoue et nous pousse à marcher et à nous engager dans la vérité et la charité envers la société, afin de lutter contre tout type d'abus sexuel, d'abus de pouvoir et de conscience."

Enfin, il faut faire pénitence selon le vœu là aussi du pape. "Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui"..."Alors Dieu souffrant s'est tourné vers son Père".

Avec prière et pénitence, "nous ferons grandir en nous le don de la compassion, de la justice, de la prévention et de la réparation". Et la confession est un gage de purification.

Le pape François veut que l'on soit dans la vérité : "la vérité vous rendra libre". L'Église est un corps qui forme un tout. On peut retenir dans ce texte l'appel à la conversion de chacun.

 

Vers qui se tourner quand on est dans une situation difficile ?

 

            Y a-t-il une cellule d’écoute ? Oui, c'est en principe à notre Évêque, Hubert Herbreteau qu'il faut s'adresser directement, d'autant plus que chacun doit savoir qu'il a été nommé responsable de la commission de prévention des abus sexuels lors de la Conférence des évêques de France en novembre 2018.

Mais peut-être serait-il souhaitable de songer à la création d'une cellule d'écoute des victimes, dans chaque diocèse, si cela n'est pas déjà fait, qui soit clairement identifiée et connue de tous les publics, et pas nécessairement constituée de clercs ?   

 

Quelles réformes sont souhaitables pour remettre le fonctionnement de l'Église sur de bons rails ?

            Plusieurs sujets ont alors été évoqués : la tolérance zéro demandée par le pape qui est devenue une évidence, la transparence de l'Église en général, rendre compte sur cette question mais aussi sur d'autres.

La prévention par une approche de la sexualité plus appropriée lors de la formation des prêtres au séminaire ? Cette question est-elle suffisamment abordée, ainsi que celle de la relation aux femmes ?

Le père Teudjou déclare que les prêtres savent que c'est le célibat qui les attend en entrant au séminaire. Guillaume prend l'exemple de l'Église orientale maronite où les prêtres sont mariés. Il fait référence à la lettre de Jean-Paul II sur le célibat (don total de sa vie au milieu de sa communauté).

 

Pourquoi y a-t-il de moins en moins de prêtres ? La solitude est pesante. L'Église semble vouloir évoluer vers la vie des prêtres en communauté pour se soutenir mutuellement, éviter les doubles vies, les problèmes d'alcoolisme, la dépression. Chacun peut chuter et se relever.

Pour ce qui est du cléricalisme, on a évoqué la possibilité de commissions de contrôle pour éviter les abus de pouvoir et de conscience, de trouver des régulations, des référents (tierces personnes) qui pourraient se positionner en médiateurs, conciliateurs ?

 

Quelle place pour les femmes dans l’Église ?

 

            Il ressort du débat que la femme n'est pas assez reconnue dans l'Église d'aujourd'hui. Les femmes se trouvent le plus souvent cantonnées dans des rôles subalternes ou purement matériels dans lesquels la hiérarchie de l'Église se plait à les maintenir. Est-ce par crainte ?

Par désinvolture ? Par tradition ? Par routine ? Un peu tout à la fois sans doute ?

Or plus de pouvoir donné aux femmes ne serait-il pas enrichissant pour l’Église ?

Il faut associer les femmes à la gouvernance de l'Église.

 

Quelle place et quelle meilleure collaboration entre laïcs et clercs sur ces sujets ?

 

            Il faut aider les prêtres et les laïcs à sortir du cléricalisme et préciser la place de chacun. Il faut avoir le courage d'aborder les sujets qui fâchent, dire ce que l'on ressent, comment on voit les choses, essayer de faire des propositions censées au travers de rencontres programmées. On parle beaucoup des clercs en ce moment, mais que dire du divorce des laïcs en constante croissance ; quelle place sommes-nous prêts à faire pour les divorcés-remariés ?

Il faut améliorer la communication transversale entre les rouages et commissions diverses d'une paroisse. Sinon, chacun ignore tout de ce que fait l'autre et cela est un frein au développement de cette paroisse et peut créer des tensions avec le curé responsable. Les paroissiens ne savent pas ce qui se fait et se sentent mis de côté. Ne pourrait-on désigner un paroissien chargé de faire la liaison entre les divers groupes de travail ?

A une échelle plus haute, le cardinal Marx, archevêque de Munich, déclare dans "La Croix" le jeudi 28 mars 2019 : "Il me paraît évident que l'on ne peut plus réunir un Synode des évêques sans y inviter aussi des laïcs, femmes et hommes. C'est urgent".                                                                                            

 

EN CONCLUSION

 

            Deux heures de débats riches, denses, profonds et ... sereins. Les participants ont été à l'écoute les uns des autres, sans s'interrompre mutuellement, en permanence, comme souvent dans ce type de rencontre. Cela a contribué à la clarté du débat et, manifestement, les participants ont été heureux de pouvoir s'exprimer sur ce sujet grave et douloureux en analysant cette " lettre au peuple de Dieu" et en donnant leurs sentiments personnels.

Le temps limité et l'ampleur des sujets abordés n'ont pas permis d'approfondir certaines propositions. Il est important de regarder les choses en face, avec courage et détermination, de ne pas minimiser les faits, quels qu'il soient, pour prendre, enfin, conscience de la gravité des actes et les mesures appropriées pour que l'Église tire les leçons d'une épreuve où elle a vécu le mal, pour aller vers un renouveau purificateur.

L'équipe Communication de notre paroisse et son curé ont considéré que, être frileux, avoir des craintes et ne pas vouloir aborder le sujet ni contribuer à apporter sa pierre, en vue de la reconstruction de l'édifice qu'est l'Église, aurait été un refus de participer à l'éradication du cancer qui la ronge actuellement.

Sans tomber dans la "réunionnite", l'équipe Communication de la paroisse pense que ce type de rencontre-débat est à renouveler, notamment sur des sujets pouvant toucher aux réformes, d’actualité ou pas, dont l'Église pourrait avoir besoin et sur lesquelles les paroissiens ont envie d'exprimer leurs idées.

 

            Enfin il y a des raisons d'espérer. Confiance tel est le maître-mot. La présence de nombreux participants et leur investissement dans la réflexion témoigne de la réactivité, du "vouloir faire face" de nos paroissiens. Oui, il y a une chance de rebâtir l'Église. Non, il n'est pas trop tard, il n'est jamais trop tard, rien n'est encore perdu. Nous sommes dans une barque secouée par un vent de grande force. Il faut tenir et faire confiance, sans réserve, au Christ. L'Église a connu bien des vicissitudes au cours de son existence. Elle a tenu. Mais il faut être vigilant, tirer la sonnette d'alarme quand il est temps encore et prendre les bonnes décisions.

En définitive, et pour laisser le dernier mot à notre curé, le père Jean-Pierre Teudjou "il ne faut pas oublier le Christ qui est au centre de tout". Et ne pas écarter la dignité humaine : "Il faut savoir faire place à Dieu et si l'on ne respecte pas l'Homme, on ne respecte pas Dieu".

 

                 L'équipe Communication de la Paroisse Sainte Croix des Confluents

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27 janvier 2019 7 27 /01 /janvier /2019 14:28
Nos vemos en Panama !

                          Journée Mondiale de la Jeunesse

Journée Mondiale de la Jeunesse

Journée Mondiale de la Jeunesse, Kraków, Poland. 1,915,805 likes · 1,331 talking about this. Page officielle française des JMJ de Panama 2019 - Suivez nous sur Twitter : @jmj_fr

https://www.facebook.com/journeesmondialesdelajeunesse/

 

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24 janvier 2019 4 24 /01 /janvier /2019 15:44

 

  •  

Les 25, 26 et 27 janvier 2019, empêchons la lèpre de grandir dans le monde !

 

QUÊTE LORS DES MESSES 

PRÉVOYEZ SOIT DES ESPÈCES SOIT UN CHÈQUE À METTRE DANS LE TRONC QUI VOUS SERA PRÉSENTÉ 

 

Pour les chèques, un reçu fiscal vous sera adressé donnant droit à une réduction d'impôts de 75% sur les versements à l'Ordre de Malte, comme toute association qui porte secours aux plus démunis, à travers la fourniture gratuite de soins, de repas et de logement.

 

Chaque don contribue non seulement à vaincre la lèpre
mais aussi à redonner dignité et confiance aux personnes malades !

 

Loin des idées reçues, la lèpre existe encore dans plus de 150 pays. Chaque année, plus de 210 000 nouveaux cas sont détectés, dont 5 % chez des enfants de moins de 15 ans selon l'Organisation Mondiale de la Santé. À l'occasion de la 66e Journée Mondiale des Lépreux, l'Ordre de Malte France lance sa grande campagne de sensibilisation.

La lèpre, une maladie qui n'a pas disparu

Maladie de la « misère », la lèpre frappe toujours et continue de faire des ravages dans les pays pauvres. Elle touche les populations les plus isolées, coupées des systèmes de santé. Trois millions de lépreux vivent aujourd'hui avec des infirmités ou des mutilations. Outre les séquelles physiques, la douleur psychique est réelle. Stigmatisés, les malades sont souvent déprimés et s'isolent. Ne bénéficiant pas des traitements nécessaires, leur maladie évolue alors vers un handicap irréversible : perte des mains, des pieds, cécité, etc.

Il est plus que jamais nécessaire de continuer à se mobiliser !

Nous avons besoin de vous

Acteur historique de la lutte contre la lèpre et ses séquelles, l’Ordre de Malte France poursuit sans relâche son intervention dans 11 pays. Une action sur le terrain qui ne serait possible sans votre générosité.

Les dons nous sont essentiels pour :

  • dépister avant la survenue d’infirmités ;

  • soigner les malades ;

  • réinsérer les patients guéris ;

  • former le personnel médical ;

  • faire avancer la recherche.

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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 15:04

 

 

Participer à la Rencontre européenne de jeunes à Madrid c’est …

... être soutenus dans la prière par la beauté du chant et la profondeur du silence.

... avec des milliers de jeunes, aller aux sources de la foi et de la fraternité.

... être accueillis par les habitants de Madrid et échanger les uns avec les autres en grande simplicité.

... rencontrer des témoins qui vivent l’Évangile au cœur des défis d’aujourd’hui.

... trouver un nouvel élan de solidarité en Europe

 

Pour connaitre le programme du vendredi 28 12 2018 au mardi 1er janvier:

Cliquez ICI !

 

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9 octobre 2018 2 09 /10 /octobre /2018 08:42

 

 

 Cinéma Rex de Tonneins

projection du  film :

 

 "Le Pape François : un homme de parole"

 

 https://www.youtube.com/watch?v=v0ms1Qz2rVc

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  • le vendredi 12 octobre à 18h
  •  
  • le dimanche 14 octobre à 20h30
  •  
  • le lundi 15 octobre à 15h
  •  
  • le mardi 16 octobre à 18h

 

Notez bien les jours et dates et transmettez autour de vous.

 

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